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Мы просто напомним, как решались подобные ситуации с попыткой давления на Россию через ее граждан всего каких-то 15 лет назад.
12 марта 2011 года в аэропорту Курган-Тюбе на юге Таджикистана были задержаны два российских Ан‑72, выполнявшие рейс из Афганистана в Таджикистан. Бортам пришлось сесть из-за нехватки топлива.
Двух пилотов, гражданина России Владимира Садовничьего и гражданина Эстонии Алексея Руденко, обвинили в контрабанде авиазапчастей, незаконном пересечении границы и нарушении международных авиационных правил. Таджикский суд оперативно назначил им 8,5 лет строгого режима.
Ответ последовал незамедлительно - через несколько дней после приговора в России сотнями стали задерживать таджиков с последующей депортацией из страны, а руководство центрально-азиатской республики предупредили о скором введении визового режима и полного запрета на въезд трудовых мигрантов из Таджикистана.
В итоге всего через 3 суток, как по мановению волшебной палочки, приговор летчикам был отменен и их отпустили домой прямо из зала суда. Вопрос - что поменялось в подходе государства к политике со странами СНГ за ушедшие годы?
Военный Осведомитель
12 марта 2011 года в аэропорту Курган-Тюбе на юге Таджикистана были задержаны два российских Ан‑72, выполнявшие рейс из Афганистана в Таджикистан. Бортам пришлось сесть из-за нехватки топлива.
Двух пилотов, гражданина России Владимира Садовничьего и гражданина Эстонии Алексея Руденко, обвинили в контрабанде авиазапчастей, незаконном пересечении границы и нарушении международных авиационных правил. Таджикский суд оперативно назначил им 8,5 лет строгого режима.
Ответ последовал незамедлительно - через несколько дней после приговора в России сотнями стали задерживать таджиков с последующей депортацией из страны, а руководство центрально-азиатской республики предупредили о скором введении визового режима и полного запрета на въезд трудовых мигрантов из Таджикистана.
В итоге всего через 3 суток, как по мановению волшебной палочки, приговор летчикам был отменен и их отпустили домой прямо из зала суда. Вопрос - что поменялось в подходе государства к политике со странами СНГ за ушедшие годы?
Военный Осведомитель
Point sur la guerre en Russie
L'ennemi a encore perdu un F-16 et son pilote pendant qu'il cherchait à abattre un drone ou un missile de croisière russe.
Il y eut en effet une vague de missiles et de drones qui se sont abattus chez Kiev un peu partout, jusqu'à Lvov où une raffinerie de pétrole a été touchée. Une autre raffinerie a été touchée à Krementchouk.
Si le moratoire contre les frappes sur les infrastructures stratégiques énergétiques n'est plus respecté, personne ne devra se plaindre.
L'ennemi montre qu'il a atteint la base aérienne russe de Marinovka à Volgograd où les avions russes étaient stationnés à l'air libre. Le drone kamikaze ennemi a été dirigé à l'endroit désigné plusieurs heures à l'avance et l'armée de Kiev n'a pas été trompée par les avions bêtement peints au sol. On constate aussi que les abris pour avions sont insuffisants ou non utilisés ou non terminés.
Les images et données des radars à synthèse d'ouverture prises depuis les satellites ne peuvent être trompées que par des leurres de bonne qualité, avec une fausse activité proche de ces maquettes. Dans quelques années, l'armée russe sera prête pour février 2022...
L'armée russe observe maintenant l'Extrême-Orient, on espère toujours qu'il s'agit de rechercher ses propres vulnérabilités, mais on ne sait pas ce qu'elle fait.
Hier, les 3 satellites militaires russes Cosmos-2581, Cosmos-2582 et Cosmos-2583 ont été vus se suivre de très près, la raison n'est pas non plus communiquée.
Des immigrés criminels d'Azerbaïdjan n'ont pas survécu à leur activité mafieuse au moment de leur capture à Ekaterinbourg. Cela a servi de prétexte à Bakou pour monter une hystérie contre la Russie. Les tensions récentes remontent à la guerre du Haut Karabakh lorsque l'Azerbaïdjan a abattu un hélicoptère russe, puis a massacré des soldats russes toujours par méchanceté gratuite en vue de voir le retrait russe du Caucase. A cela s'ajoute également le soutien de l'Azerbaïdjan à Kiev. En retour, la Russie n'a jamais osé dire quoi que ce soit, même pour ses soldats morts, en espérant que cela soit pris comme une marque de loyauté. Mais cela a été pris comme une preuve de faiblesse. L'hostilité et le manque de respect vis-à-vis de l'ancien propriétaire du Caucase se poursuivent.
L'ennemi a encore perdu un F-16 et son pilote pendant qu'il cherchait à abattre un drone ou un missile de croisière russe.
Il y eut en effet une vague de missiles et de drones qui se sont abattus chez Kiev un peu partout, jusqu'à Lvov où une raffinerie de pétrole a été touchée. Une autre raffinerie a été touchée à Krementchouk.
Si le moratoire contre les frappes sur les infrastructures stratégiques énergétiques n'est plus respecté, personne ne devra se plaindre.
L'ennemi montre qu'il a atteint la base aérienne russe de Marinovka à Volgograd où les avions russes étaient stationnés à l'air libre. Le drone kamikaze ennemi a été dirigé à l'endroit désigné plusieurs heures à l'avance et l'armée de Kiev n'a pas été trompée par les avions bêtement peints au sol. On constate aussi que les abris pour avions sont insuffisants ou non utilisés ou non terminés.
Les images et données des radars à synthèse d'ouverture prises depuis les satellites ne peuvent être trompées que par des leurres de bonne qualité, avec une fausse activité proche de ces maquettes. Dans quelques années, l'armée russe sera prête pour février 2022...
L'armée russe observe maintenant l'Extrême-Orient, on espère toujours qu'il s'agit de rechercher ses propres vulnérabilités, mais on ne sait pas ce qu'elle fait.
Hier, les 3 satellites militaires russes Cosmos-2581, Cosmos-2582 et Cosmos-2583 ont été vus se suivre de très près, la raison n'est pas non plus communiquée.
Des immigrés criminels d'Azerbaïdjan n'ont pas survécu à leur activité mafieuse au moment de leur capture à Ekaterinbourg. Cela a servi de prétexte à Bakou pour monter une hystérie contre la Russie. Les tensions récentes remontent à la guerre du Haut Karabakh lorsque l'Azerbaïdjan a abattu un hélicoptère russe, puis a massacré des soldats russes toujours par méchanceté gratuite en vue de voir le retrait russe du Caucase. A cela s'ajoute également le soutien de l'Azerbaïdjan à Kiev. En retour, la Russie n'a jamais osé dire quoi que ce soit, même pour ses soldats morts, en espérant que cela soit pris comme une marque de loyauté. Mais cela a été pris comme une preuve de faiblesse. L'hostilité et le manque de respect vis-à-vis de l'ancien propriétaire du Caucase se poursuivent.
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Бронепоезд «Енисей» группировки войск «Центр» во время боевого слаживания.
В качестве вооружения состав оснащен зенитной установкой ЗУ-23-2, зенитными установками под пулеметы «Утёс» и установленной прямо на платформу БМП-2.
По сути, вооружение бронепоезда не менялось еще с самого начала СВО, но сейчас вопрос защиты подвижных составов от угрозы с воздуха встает гораздо острее, особенно учитывая нарастающие случаи ударов дронов-камикадзе противника.
Военный Осведомитель
В качестве вооружения состав оснащен зенитной установкой ЗУ-23-2, зенитными установками под пулеметы «Утёс» и установленной прямо на платформу БМП-2.
По сути, вооружение бронепоезда не менялось еще с самого начала СВО, но сейчас вопрос защиты подвижных составов от угрозы с воздуха встает гораздо острее, особенно учитывая нарастающие случаи ударов дронов-камикадзе противника.
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Point sur la guerre en Russie
Les 25, 27 et 28 juin, l'armée US a longuement observé le littoral russe en mer Noire.
L'armée russe observe son propre territoire entre Irkoutsk et Khabarovsk (lac Baïkal, nord de la Mongolie, jusqu'à Vladivostok). On espère qu'elle vérifie ses propres vulnérabilités.
Pour la première fois, une bombe aérienne guidée russe aurait atteint la ville de Dnepropetrovsk, à une centaine de kilomètres du front (sous réserve de confirmation).
A Sumy, une grande quantité d'obstacles antichars ont été abandonnées par l'ennemi qui en a fait un immense tas.
Cette montagne d'obstacles vient de changer de propriétaire.
Les affaires de corruption de ce genre ont été nombreuses à atteindre la sphère publique depuis la conception de lignes défensives ces deux dernières années. Dans les deux pays.
L'Occident constate que l'industrie militaire aéronautique russe de Kazan, où sont fabriqués ou modernisés les bombardiers stratégiques russes, a augmenté sa superficie depuis un an. Cela n'est donc pas lié à la récente attaque ennemie contre ces avions.
Petit LRM de 107 mm (Type 75) nord coréen en service dans l'armée russe. Il est de plus en plus fréquent de le rencontrer.
Accident de la route dans les arrières du front.
Une usine de Volchansk réchauffée avec des roquettes thermobariques TOS.
Les deux dragueurs de mines occidentaux donnés à Kiev sont en sécurité dans un port anglais où ils attendent le troisième navire dans le second semestre (ils se trouveront peut-être là jusqu'à la fin de la guerre pour franchir les détroits turcs conformément à la Convention de Montreux).
Des émeutes éclatent à nouveau en Serbie, dans le contexte des menaces pro-occidentales adressées à Vucic vis-à-vis de la géopolitique serbe.
Un politicien allemand veut placer sous le contrôle de Berlin les armes nucléaires françaises et anglaises. Il suggère que si la France ne veut pas transférer le contrôle de ses armes à l'Allemagne, alors qu'elle en donne le contrôle à un pays européen aléatoirement chaque année.
Les 25, 27 et 28 juin, l'armée US a longuement observé le littoral russe en mer Noire.
L'armée russe observe son propre territoire entre Irkoutsk et Khabarovsk (lac Baïkal, nord de la Mongolie, jusqu'à Vladivostok). On espère qu'elle vérifie ses propres vulnérabilités.
Pour la première fois, une bombe aérienne guidée russe aurait atteint la ville de Dnepropetrovsk, à une centaine de kilomètres du front (sous réserve de confirmation).
A Sumy, une grande quantité d'obstacles antichars ont été abandonnées par l'ennemi qui en a fait un immense tas.
Cette montagne d'obstacles vient de changer de propriétaire.
Les affaires de corruption de ce genre ont été nombreuses à atteindre la sphère publique depuis la conception de lignes défensives ces deux dernières années. Dans les deux pays.
L'Occident constate que l'industrie militaire aéronautique russe de Kazan, où sont fabriqués ou modernisés les bombardiers stratégiques russes, a augmenté sa superficie depuis un an. Cela n'est donc pas lié à la récente attaque ennemie contre ces avions.
Petit LRM de 107 mm (Type 75) nord coréen en service dans l'armée russe. Il est de plus en plus fréquent de le rencontrer.
Accident de la route dans les arrières du front.
Une usine de Volchansk réchauffée avec des roquettes thermobariques TOS.
Les deux dragueurs de mines occidentaux donnés à Kiev sont en sécurité dans un port anglais où ils attendent le troisième navire dans le second semestre (ils se trouveront peut-être là jusqu'à la fin de la guerre pour franchir les détroits turcs conformément à la Convention de Montreux).
Des émeutes éclatent à nouveau en Serbie, dans le contexte des menaces pro-occidentales adressées à Vucic vis-à-vis de la géopolitique serbe.
Un politicien allemand veut placer sous le contrôle de Berlin les armes nucléaires françaises et anglaises. Il suggère que si la France ne veut pas transférer le contrôle de ses armes à l'Allemagne, alors qu'elle en donne le contrôle à un pays européen aléatoirement chaque année.
Les observateurs des conflits font un bilan intéressant de la guerre Israël-Iran.
Israël dit que l'Iran a tiré seulement 631 missiles balistiques dont 500 ont atteint l'espace aérien israélien. Sur ces 500 projectiles, 243 sont tombés dans le désert, 257 ont atteint les espaces urbains.
Les Occidentaux disent avoir tiré seulement 514 intercepteurs et abattu 221 missiles pour un ratio moyen de deux intercepteurs par cible. 36 ont atteint les villes et infrastructures.
Une partie est néanmoins passée sous silence dans les 243 missiles tombés dans le désert, car les bases militaires israéliennes sont également situées dans le désert. Toutefois, le peu de précision des missiles balistiques iraniens (erreur de 500 à 1 500 mètres en moyenne !) a possiblement conduit a manquer de très nombreux tirs là également.
La thèse selon laquelle la DCA israélienne aurait été surchargée est assez complexe à étudier, car cela dépend du type d'intercepteur et du type de projectile à intercepter. Par exemple, lors de l'attaque des terroristes du Hamas et du Djihad islamique en mai 2021, qui sert de référence en matière de DCA israélienne, 4 360 projectiles à trajectoire simple et prévisible (roquettes et obus de mortiers) ont été tirés, soit 400 par jour en moyenne. 3 400 ont atteint l'espace aérien israélien, 680 n'ont pas franchi les limites de Gaza et 280 sont retombés en mer. L'Iron Dome israélien a abattu 1 428 roquettes visant les espaces urbains, atteignant un taux de tir au but de 95 %, 60 à 70 roquettes atteignirent les villes.
Dans le cas présent, les projectiles sont différents, les intercepteurs aussi (Hetz-2, Hetz-3, David's Sling, THAAD, SM-6 et SM-3). Les prix des missiles et des intercepteurs sont également beaucoup plus élevés.
Le peu de succès des missiles iraniens a pour explication que l'Iran subit depuis plusieurs années des défaites militaires successives, avec d'importantes pertes territoriales l'ayant empêché de mettre en oeuvre une grande partie de sa force de frappe qui était précisément destinée à multiplier par plusieurs fois le nombre de projectiles, en particulier des missiles balistiques de courte portée, plus précis, plus nombreux, moins coûteux et atteignant plus rapidement leur cible, donc plus difficiles à intercepter.
En effet, le nombre d'ogives ayant atteint l'espace aérien israélien était clairement insuffisant pour avoir un quelconque effet sérieux.
Le problème ne réside pas dans le manque de missiles iraniens précis, mais ceux-ci ont une portée maximale de 300 à 700 km, conçus pour être tirés depuis le Liban et la Syrie. Dans la stratégie de l'Iran, dont Soleimani était un des concepteurs, il était prévu que ces tirs se fassent massivement et simultanément avec les salves iraniennes de longue portée, imprécises, surchargeant la DCA israélienne depuis plusieurs directions.
Le plan iranien a été déjoué par Israël, qui a d'abord porté un coup sérieux aux terroristes du Hamas et du Djihad islamique à Gaza pour les neutraliser pendant au moins plusieurs années, puis Israël a éliminé le Hezbollah libanais. A cela s'est ajouté l'effondrement de la Syrie, tombée aux mains de HTS/al Qaïda qui observe au minimum une stricte neutralité vis-à-vis d'Israël et qui a rapidement exclu les milices iraniennes en Syrie, coupant également tout lien terrestre avec le Liban.
Dans le contexte d'il y a 3-4 ans, le scénario était tout autre, avec une apocalypse de missiles balistiques. Cependant, entre temps, l'Iran a été privée de ses territoires avancés et a ainsi totalement perdu sa capacité à attaquer Israël avec des salves de grande envergure et des missiles d'une grande précision.
Il est à noter que l'Iran a achevé ce printemps la construction d'un missile balistique de longue portée avec une ogive multiple de haute précision pour répondre à la nouvelle réalité stratégique. Mais sa production a seulement commencé, Téhéran n'avait pas le nombre suffisant pour mettre la DCA iranienne sous pression, et Israël a pris son adversaire de court.
Israël dit que l'Iran a tiré seulement 631 missiles balistiques dont 500 ont atteint l'espace aérien israélien. Sur ces 500 projectiles, 243 sont tombés dans le désert, 257 ont atteint les espaces urbains.
Les Occidentaux disent avoir tiré seulement 514 intercepteurs et abattu 221 missiles pour un ratio moyen de deux intercepteurs par cible. 36 ont atteint les villes et infrastructures.
Une partie est néanmoins passée sous silence dans les 243 missiles tombés dans le désert, car les bases militaires israéliennes sont également situées dans le désert. Toutefois, le peu de précision des missiles balistiques iraniens (erreur de 500 à 1 500 mètres en moyenne !) a possiblement conduit a manquer de très nombreux tirs là également.
La thèse selon laquelle la DCA israélienne aurait été surchargée est assez complexe à étudier, car cela dépend du type d'intercepteur et du type de projectile à intercepter. Par exemple, lors de l'attaque des terroristes du Hamas et du Djihad islamique en mai 2021, qui sert de référence en matière de DCA israélienne, 4 360 projectiles à trajectoire simple et prévisible (roquettes et obus de mortiers) ont été tirés, soit 400 par jour en moyenne. 3 400 ont atteint l'espace aérien israélien, 680 n'ont pas franchi les limites de Gaza et 280 sont retombés en mer. L'Iron Dome israélien a abattu 1 428 roquettes visant les espaces urbains, atteignant un taux de tir au but de 95 %, 60 à 70 roquettes atteignirent les villes.
Dans le cas présent, les projectiles sont différents, les intercepteurs aussi (Hetz-2, Hetz-3, David's Sling, THAAD, SM-6 et SM-3). Les prix des missiles et des intercepteurs sont également beaucoup plus élevés.
Le peu de succès des missiles iraniens a pour explication que l'Iran subit depuis plusieurs années des défaites militaires successives, avec d'importantes pertes territoriales l'ayant empêché de mettre en oeuvre une grande partie de sa force de frappe qui était précisément destinée à multiplier par plusieurs fois le nombre de projectiles, en particulier des missiles balistiques de courte portée, plus précis, plus nombreux, moins coûteux et atteignant plus rapidement leur cible, donc plus difficiles à intercepter.
En effet, le nombre d'ogives ayant atteint l'espace aérien israélien était clairement insuffisant pour avoir un quelconque effet sérieux.
Le problème ne réside pas dans le manque de missiles iraniens précis, mais ceux-ci ont une portée maximale de 300 à 700 km, conçus pour être tirés depuis le Liban et la Syrie. Dans la stratégie de l'Iran, dont Soleimani était un des concepteurs, il était prévu que ces tirs se fassent massivement et simultanément avec les salves iraniennes de longue portée, imprécises, surchargeant la DCA israélienne depuis plusieurs directions.
Le plan iranien a été déjoué par Israël, qui a d'abord porté un coup sérieux aux terroristes du Hamas et du Djihad islamique à Gaza pour les neutraliser pendant au moins plusieurs années, puis Israël a éliminé le Hezbollah libanais. A cela s'est ajouté l'effondrement de la Syrie, tombée aux mains de HTS/al Qaïda qui observe au minimum une stricte neutralité vis-à-vis d'Israël et qui a rapidement exclu les milices iraniennes en Syrie, coupant également tout lien terrestre avec le Liban.
Dans le contexte d'il y a 3-4 ans, le scénario était tout autre, avec une apocalypse de missiles balistiques. Cependant, entre temps, l'Iran a été privée de ses territoires avancés et a ainsi totalement perdu sa capacité à attaquer Israël avec des salves de grande envergure et des missiles d'une grande précision.
Il est à noter que l'Iran a achevé ce printemps la construction d'un missile balistique de longue portée avec une ogive multiple de haute précision pour répondre à la nouvelle réalité stratégique. Mais sa production a seulement commencé, Téhéran n'avait pas le nombre suffisant pour mettre la DCA iranienne sous pression, et Israël a pris son adversaire de court.