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Point sur la guerre en Russie
Les 25, 27 et 28 juin, l'armée US a longuement observé le littoral russe en mer Noire.
L'armée russe observe son propre territoire entre Irkoutsk et Khabarovsk (lac Baïkal, nord de la Mongolie, jusqu'à Vladivostok). On espère qu'elle vérifie ses propres vulnérabilités.
Pour la première fois, une bombe aérienne guidée russe aurait atteint la ville de Dnepropetrovsk, à une centaine de kilomètres du front (sous réserve de confirmation).
A Sumy, une grande quantité d'obstacles antichars ont été abandonnées par l'ennemi qui en a fait un immense tas.
Cette montagne d'obstacles vient de changer de propriétaire.
Les affaires de corruption de ce genre ont été nombreuses à atteindre la sphère publique depuis la conception de lignes défensives ces deux dernières années. Dans les deux pays.
L'Occident constate que l'industrie militaire aéronautique russe de Kazan, où sont fabriqués ou modernisés les bombardiers stratégiques russes, a augmenté sa superficie depuis un an. Cela n'est donc pas lié à la récente attaque ennemie contre ces avions.
Petit LRM de 107 mm (Type 75) nord coréen en service dans l'armée russe. Il est de plus en plus fréquent de le rencontrer.
Accident de la route dans les arrières du front.
Une usine de Volchansk réchauffée avec des roquettes thermobariques TOS.
Les deux dragueurs de mines occidentaux donnés à Kiev sont en sécurité dans un port anglais où ils attendent le troisième navire dans le second semestre (ils se trouveront peut-être là jusqu'à la fin de la guerre pour franchir les détroits turcs conformément à la Convention de Montreux).
Des émeutes éclatent à nouveau en Serbie, dans le contexte des menaces pro-occidentales adressées à Vucic vis-à-vis de la géopolitique serbe.
Un politicien allemand veut placer sous le contrôle de Berlin les armes nucléaires françaises et anglaises. Il suggère que si la France ne veut pas transférer le contrôle de ses armes à l'Allemagne, alors qu'elle en donne le contrôle à un pays européen aléatoirement chaque année.
Les 25, 27 et 28 juin, l'armée US a longuement observé le littoral russe en mer Noire.
L'armée russe observe son propre territoire entre Irkoutsk et Khabarovsk (lac Baïkal, nord de la Mongolie, jusqu'à Vladivostok). On espère qu'elle vérifie ses propres vulnérabilités.
Pour la première fois, une bombe aérienne guidée russe aurait atteint la ville de Dnepropetrovsk, à une centaine de kilomètres du front (sous réserve de confirmation).
A Sumy, une grande quantité d'obstacles antichars ont été abandonnées par l'ennemi qui en a fait un immense tas.
Cette montagne d'obstacles vient de changer de propriétaire.
Les affaires de corruption de ce genre ont été nombreuses à atteindre la sphère publique depuis la conception de lignes défensives ces deux dernières années. Dans les deux pays.
L'Occident constate que l'industrie militaire aéronautique russe de Kazan, où sont fabriqués ou modernisés les bombardiers stratégiques russes, a augmenté sa superficie depuis un an. Cela n'est donc pas lié à la récente attaque ennemie contre ces avions.
Petit LRM de 107 mm (Type 75) nord coréen en service dans l'armée russe. Il est de plus en plus fréquent de le rencontrer.
Accident de la route dans les arrières du front.
Une usine de Volchansk réchauffée avec des roquettes thermobariques TOS.
Les deux dragueurs de mines occidentaux donnés à Kiev sont en sécurité dans un port anglais où ils attendent le troisième navire dans le second semestre (ils se trouveront peut-être là jusqu'à la fin de la guerre pour franchir les détroits turcs conformément à la Convention de Montreux).
Des émeutes éclatent à nouveau en Serbie, dans le contexte des menaces pro-occidentales adressées à Vucic vis-à-vis de la géopolitique serbe.
Un politicien allemand veut placer sous le contrôle de Berlin les armes nucléaires françaises et anglaises. Il suggère que si la France ne veut pas transférer le contrôle de ses armes à l'Allemagne, alors qu'elle en donne le contrôle à un pays européen aléatoirement chaque année.
Point sur la guerre en Russie
Andrey Filatov dénonce la censure qui se renforce en Russie (surtout depuis début 2024) associée à la diffusion de désinformation permettant aux responsables de nier tous les problèmes et de persister dans la médiocrité. Il explique que les erreurs, qui se réduisaient, sont à nouveau en croissance, avec les pertes associées. Puisqu'aucun problème n'est reconnu, les conclusions sont erronées, les solutions pour les corriger ne correspondent pas aux problèmes réels et les pertes augmentent. Il rappelle que Staline avait précisément lutté contre ce phénomène en incitant à évoquer les difficultés, et que les commissaires politiques soviétiques cherchaient à identifier les causes réelles pour les régler. C'était le rôle des journalistes et blogueurs russes jusqu'à la présidentielle 2024. Depuis, malheureusement, il y a de moins en moins de voix qui osent défier la bureaucratie.
Encore un autre politicien russe évoque la censure de Telegram lorsque la messagerie officielle russe sera prête. Depuis l'été 2024, on sait de quoi ils sont capables.
VVP reconnaît que lors des négociations d'Istanbul qu'il a réclamées, les exigences de Kiev sont diamétralement opposées à celles de la Russie, mais il veut trouver un compromis, c'est-à-dire faire des concessions. Il réclame à Kiev de reprendre les négociations, précisément sur les compromis à faire.
On peut espérer que la Russie s'attend tout de même à exiger beaucoup plus de concessions de la part de Kiev que de sa propre part.
VVP reconnaît également que la Russie paie le prix de la guerre par l'inflation, le budget militaire ayant atteint environ 135 milliards $.
Constructions de hangars de protection sur l'aérodrome d'Akhtubinsk à la frontière kazakhe. Un drone ennemi y avait endommagé un Su-57 l'année dernière.
Attaque de nombreux drones FPV kamikazes russes guidés par fibre optique contre un véhicule d'infanterie suédois de l'armée de Kiev qui résiste, jusqu'à un certain point.
Missile balistique Iskander-M frappant une cible sur une base ennemie d'Odessa.
L'ennemi a détruit un premier LRM nord coréen M1991 de 240 mm. Après l'impact, une des roquettes est spontanément partie, traversant le poste de conduite, heureusement sans exploser. Les soldats russes ont sauté par la fenêtre. Impressionnant. On constate également que l'ennemi a équipé son drone guidé par fibre optique d'une charge à génération de noyau.
La Belgique et les Pays-Bas sont heureux de donner à Kiev deux navires chasseurs de mines, un troisième suivra. On verra ce que Kiev en fera. Normalement, ils ne franchiront pas les détroits turcs (Convention de Montreux) avant la fin de la guerre.
Andrey Filatov dénonce la censure qui se renforce en Russie (surtout depuis début 2024) associée à la diffusion de désinformation permettant aux responsables de nier tous les problèmes et de persister dans la médiocrité. Il explique que les erreurs, qui se réduisaient, sont à nouveau en croissance, avec les pertes associées. Puisqu'aucun problème n'est reconnu, les conclusions sont erronées, les solutions pour les corriger ne correspondent pas aux problèmes réels et les pertes augmentent. Il rappelle que Staline avait précisément lutté contre ce phénomène en incitant à évoquer les difficultés, et que les commissaires politiques soviétiques cherchaient à identifier les causes réelles pour les régler. C'était le rôle des journalistes et blogueurs russes jusqu'à la présidentielle 2024. Depuis, malheureusement, il y a de moins en moins de voix qui osent défier la bureaucratie.
Encore un autre politicien russe évoque la censure de Telegram lorsque la messagerie officielle russe sera prête. Depuis l'été 2024, on sait de quoi ils sont capables.
VVP reconnaît que lors des négociations d'Istanbul qu'il a réclamées, les exigences de Kiev sont diamétralement opposées à celles de la Russie, mais il veut trouver un compromis, c'est-à-dire faire des concessions. Il réclame à Kiev de reprendre les négociations, précisément sur les compromis à faire.
On peut espérer que la Russie s'attend tout de même à exiger beaucoup plus de concessions de la part de Kiev que de sa propre part.
VVP reconnaît également que la Russie paie le prix de la guerre par l'inflation, le budget militaire ayant atteint environ 135 milliards $.
Constructions de hangars de protection sur l'aérodrome d'Akhtubinsk à la frontière kazakhe. Un drone ennemi y avait endommagé un Su-57 l'année dernière.
Attaque de nombreux drones FPV kamikazes russes guidés par fibre optique contre un véhicule d'infanterie suédois de l'armée de Kiev qui résiste, jusqu'à un certain point.
Missile balistique Iskander-M frappant une cible sur une base ennemie d'Odessa.
L'ennemi a détruit un premier LRM nord coréen M1991 de 240 mm. Après l'impact, une des roquettes est spontanément partie, traversant le poste de conduite, heureusement sans exploser. Les soldats russes ont sauté par la fenêtre. Impressionnant. On constate également que l'ennemi a équipé son drone guidé par fibre optique d'une charge à génération de noyau.
La Belgique et les Pays-Bas sont heureux de donner à Kiev deux navires chasseurs de mines, un troisième suivra. On verra ce que Kiev en fera. Normalement, ils ne franchiront pas les détroits turcs (Convention de Montreux) avant la fin de la guerre.
Point sur la guerre en Russie
Une femme a été capturée à Saint Pétersbourg, elle collectait les adresses de militaires russes et l'identification de leurs véhicules. Elle transférait les informations à Kiev. Certains militaires ont découvert des balises de géolocalisation sous leur voiture. Cela permet aux bandéristes d'identifier des cibles, de comprendre leur habitude, pour ensuite orchestrer un attentat. L'ennemi montre ainsi qu'il complexifie ses attaques et cherche à en augmenter le nombre.
Un dirigeant russe affirme que 137 mille soldats russes sont revenus à la vie civile.
L'ennemi a une fois de plus attaqué un train circulant dans l'arrière du front sud, près de Tokmak, avec des drones FPV kamikazes de longue portée (type « ailes d'avion »), guidés par Starlink. Plusieurs voitures ont été touchées, mais au moins 3 drones ont ensuite été abattus par les soldats russes avec des armes légères.
L'ennemi a également publié d'autres vidéos des attaques avec ce type de drones en Crimée où il continue à décimer la DCA russe (cette fois des éléments de S-400). 3 cibles sur 5 ont été reconnues comme détruites par la partie russe.
Les USA, qui n'ont plus que 2 vieux brise-glaces pour l'Arctique, disent vouloir en commander 15 à la Finlande, récemment annexée à l'OTAN, en vue de rivaliser avec la Russie qui dispose d'un grand nombre de brise-glaces modernes et même à propulsion nucléaire.
La bataille pour l'Arctique et ses ressources est en préparation.
Une femme a été capturée à Saint Pétersbourg, elle collectait les adresses de militaires russes et l'identification de leurs véhicules. Elle transférait les informations à Kiev. Certains militaires ont découvert des balises de géolocalisation sous leur voiture. Cela permet aux bandéristes d'identifier des cibles, de comprendre leur habitude, pour ensuite orchestrer un attentat. L'ennemi montre ainsi qu'il complexifie ses attaques et cherche à en augmenter le nombre.
Un dirigeant russe affirme que 137 mille soldats russes sont revenus à la vie civile.
L'ennemi a une fois de plus attaqué un train circulant dans l'arrière du front sud, près de Tokmak, avec des drones FPV kamikazes de longue portée (type « ailes d'avion »), guidés par Starlink. Plusieurs voitures ont été touchées, mais au moins 3 drones ont ensuite été abattus par les soldats russes avec des armes légères.
L'ennemi a également publié d'autres vidéos des attaques avec ce type de drones en Crimée où il continue à décimer la DCA russe (cette fois des éléments de S-400). 3 cibles sur 5 ont été reconnues comme détruites par la partie russe.
Les USA, qui n'ont plus que 2 vieux brise-glaces pour l'Arctique, disent vouloir en commander 15 à la Finlande, récemment annexée à l'OTAN, en vue de rivaliser avec la Russie qui dispose d'un grand nombre de brise-glaces modernes et même à propulsion nucléaire.
La bataille pour l'Arctique et ses ressources est en préparation.
Les Iraniens ont refermé les orifices laissés par les bombes perce-bunkers américaines à Natanz. Ils sont pudiques 😊
Les USA ont expliqué que les images satellites (et les données de leurs renseignements) de 2008 et 2009 montraient la construction des puits de ventilation de l'infrastructure souterraine (dans la montagne) de Fordow dont ils donnent un schéma de construction : 3 branches qui se rejoignent sur celle du centre. Ils disent n'avoir utilisé qu'une seule bombe par ventilation, et non trois : l'onde de choc et les gaz de l'explosion interne ont fait sauter les deux autres « couvercles », faisant apparaître les trois trous (dont celui du centre où la bombe est passée). Même chose pour la deuxième ventilation.
L'explosion de la bombe aurait donc eu lieu dans le conduit ou bien plus profondément après avoir rencontré un angle ou la pièce de sortie, et l'onde de choc des 2.4 tonnes d'explosif est censée suffire à détruire ce qui devait l'être.
On espère que les Iraniens n'ont pas fait une cheminée toute droite jusqu'à la pièce ventilée 😂
Dans tous les cas, on ne sait pas ce qu'il en est réellement, et les Iraniens ne nous montreront pas les résultats.
Les USA ont expliqué que les images satellites (et les données de leurs renseignements) de 2008 et 2009 montraient la construction des puits de ventilation de l'infrastructure souterraine (dans la montagne) de Fordow dont ils donnent un schéma de construction : 3 branches qui se rejoignent sur celle du centre. Ils disent n'avoir utilisé qu'une seule bombe par ventilation, et non trois : l'onde de choc et les gaz de l'explosion interne ont fait sauter les deux autres « couvercles », faisant apparaître les trois trous (dont celui du centre où la bombe est passée). Même chose pour la deuxième ventilation.
L'explosion de la bombe aurait donc eu lieu dans le conduit ou bien plus profondément après avoir rencontré un angle ou la pièce de sortie, et l'onde de choc des 2.4 tonnes d'explosif est censée suffire à détruire ce qui devait l'être.
On espère que les Iraniens n'ont pas fait une cheminée toute droite jusqu'à la pièce ventilée 😂
Dans tous les cas, on ne sait pas ce qu'il en est réellement, et les Iraniens ne nous montreront pas les résultats.
Point sur la guerre en Russie
Deux bandéristes préparant une attaque contre un militaire russe à Moscou, avec leur méthode habituelle de l'explosif déclenché à distance, ont été longuement surveillés par le FSB. Ils ont été pris à la dernière étape de leur attaque. Ils ont tenté de résister mais ont été éliminés.
Il est intéressant de constater pour la première fois chez Kiev que des soldats (non des hauts gradés) sont attaqués de la même manière. A Kharkov, une jeune fille de 19 ans a placé un explosif dans le coffre d'un scooter utilisé par deux soldats, en tuant l'un et en blessant gravement l'autre. Elle a été capturée par la suite.
Un autre cas a eu lieu le 21 juin à Kiev, une fille a donné rendez-vous à un bandériste d'Azov et l'a attiré près d'un scooter, mais il ne s'en est pas approché suffisamment pour une raison indéterminée et a été épargné.
On ne sait pas si les services russes sont derrière ces cas ou s'il s'agit d'autre chose, le régime de Kiev est tout de même un haut lieu de criminalité. Si ces cas se multiplient, on pourra suspecter l'armée russe.
Le chef de la LNR décide d'interdire Starlink. En Russie, le nombre de dirigeants qui sabotent les intérêts de leur propre pays demeure très élevé. Starlink ne fonctionne pas en Russie, mais la LNR n'est pas reconnue comme se trouvant en Russie par les USA, donc cela fonctionne sur une grande partie de ce territoire. Qui utilise Starlink près de la ligne de front, où la connexion fonctionne ? L'armée russe, pour pouvoir avoir accès à Internet, en se faisant passer pour un client étranger. Et l'ennemi bien sûr, qui ne se pliera pas à l'interdiction du chef local.
Les fournitures de boîtiers Starlink depuis des pays intermédiaires sont en croissance à Moscou, ils sont ensuite redistribués là où le réseau est activé par les USA. Bien sûr, seuls ceux qui ont envie de respecter les idées de cet individu le feront, mais en interdisant le transport de terminaux Starlink, ce chef local pose un problème pour l'approvisionnement des troupes par la logistique civile.
Il aurait été productif s'il avait plutôt interdit WhatsApp, même si ce serait resté symbolique.
Le pouvoir central, va-t-il continuer longtemps à laisser les régions prendre des dispositions contradictoires avec l'intérêt commun ?
De la même manière, une députée russe veut faire des registres officiels des citoyens russes participant à cette logistique civile, qu'elle veut contrôler et réguler. Ce sera le meilleur moyen de mettre un arrêt complet à la logistique civile, car les citoyens russes ne veulent pas être la cible de l'ennemi ! Et ils livrent ce qui n'est précisément pas pris en charge par la bureaucratie.
On comprend surtout que la logistique civile fait de la concurrence aux entreprises officielles qui dépensent une montagne d'argent en corruption pour obtenir leurs monopoles et qu'ils ne sont pas motivés par l'efficacité des troupes, mais par le fric qu'ils gagnent.
Kiev a copié le système de guidage des bombes aériennes planantes russes. Pour le moment, sa copie ne porte qu'à 60 km et il espère atteindre 80 km plus tard. Il veut davantage de telles bombes aériennes et l'OTAN ne lui en donne pas suffisamment. Toutefois il est limité par son nombre d'avions.
Après l'attaque contre les bases aériennes russes dans les profondeurs du pays, les idiots ont continué à peindre de nouvelles silhouettes d'avions au sol et à jeter des pneus et d'autres déchets sur les avions pour tromper l'observation satellite.
Kiev montre un de ses leurres de système Buk, très difficile à distinguer d'un vrai depuis un drone. Voici quelques rappels de leurres ennemis de haute qualité.
Deux bandéristes préparant une attaque contre un militaire russe à Moscou, avec leur méthode habituelle de l'explosif déclenché à distance, ont été longuement surveillés par le FSB. Ils ont été pris à la dernière étape de leur attaque. Ils ont tenté de résister mais ont été éliminés.
Il est intéressant de constater pour la première fois chez Kiev que des soldats (non des hauts gradés) sont attaqués de la même manière. A Kharkov, une jeune fille de 19 ans a placé un explosif dans le coffre d'un scooter utilisé par deux soldats, en tuant l'un et en blessant gravement l'autre. Elle a été capturée par la suite.
Un autre cas a eu lieu le 21 juin à Kiev, une fille a donné rendez-vous à un bandériste d'Azov et l'a attiré près d'un scooter, mais il ne s'en est pas approché suffisamment pour une raison indéterminée et a été épargné.
On ne sait pas si les services russes sont derrière ces cas ou s'il s'agit d'autre chose, le régime de Kiev est tout de même un haut lieu de criminalité. Si ces cas se multiplient, on pourra suspecter l'armée russe.
Le chef de la LNR décide d'interdire Starlink. En Russie, le nombre de dirigeants qui sabotent les intérêts de leur propre pays demeure très élevé. Starlink ne fonctionne pas en Russie, mais la LNR n'est pas reconnue comme se trouvant en Russie par les USA, donc cela fonctionne sur une grande partie de ce territoire. Qui utilise Starlink près de la ligne de front, où la connexion fonctionne ? L'armée russe, pour pouvoir avoir accès à Internet, en se faisant passer pour un client étranger. Et l'ennemi bien sûr, qui ne se pliera pas à l'interdiction du chef local.
Les fournitures de boîtiers Starlink depuis des pays intermédiaires sont en croissance à Moscou, ils sont ensuite redistribués là où le réseau est activé par les USA. Bien sûr, seuls ceux qui ont envie de respecter les idées de cet individu le feront, mais en interdisant le transport de terminaux Starlink, ce chef local pose un problème pour l'approvisionnement des troupes par la logistique civile.
Il aurait été productif s'il avait plutôt interdit WhatsApp, même si ce serait resté symbolique.
Le pouvoir central, va-t-il continuer longtemps à laisser les régions prendre des dispositions contradictoires avec l'intérêt commun ?
De la même manière, une députée russe veut faire des registres officiels des citoyens russes participant à cette logistique civile, qu'elle veut contrôler et réguler. Ce sera le meilleur moyen de mettre un arrêt complet à la logistique civile, car les citoyens russes ne veulent pas être la cible de l'ennemi ! Et ils livrent ce qui n'est précisément pas pris en charge par la bureaucratie.
On comprend surtout que la logistique civile fait de la concurrence aux entreprises officielles qui dépensent une montagne d'argent en corruption pour obtenir leurs monopoles et qu'ils ne sont pas motivés par l'efficacité des troupes, mais par le fric qu'ils gagnent.
Kiev a copié le système de guidage des bombes aériennes planantes russes. Pour le moment, sa copie ne porte qu'à 60 km et il espère atteindre 80 km plus tard. Il veut davantage de telles bombes aériennes et l'OTAN ne lui en donne pas suffisamment. Toutefois il est limité par son nombre d'avions.
Après l'attaque contre les bases aériennes russes dans les profondeurs du pays, les idiots ont continué à peindre de nouvelles silhouettes d'avions au sol et à jeter des pneus et d'autres déchets sur les avions pour tromper l'observation satellite.
Kiev montre un de ses leurres de système Buk, très difficile à distinguer d'un vrai depuis un drone. Voici quelques rappels de leurres ennemis de haute qualité.